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21 août 2008 4 21 /08 /août /2008 02:17








Nom :
Queen of Pirates
Groupe : KAT-TUN
Type : Album
Grenre : J-Pop
Date de sortie : 4 juin 2008
Téléchargement : Nautiljon (DDL)




Pistes :

01 - Taboo
02 - Keep the Faith
03 - Affection - Mo Modorenai
04 - Hell, No
05 - Distance
06 - Mother/Father
07 - Lips
08 - Yorokobi no Uta
09 - "un-"
10 - Our Story - Prologue
11 - Nannen Tatte Mo
12 - Shot!
13 - 12 O'clock
14 - Ai no Command
15 - Six Senses




Note : 14/20





Mon avis :

Cet album n'est certainement pas celui que je considère comme étant le meilleur des KAT-TUN. Pourtant, il possède une ambiance un peu particulière loin d'être désagréable...


En fait, ce qui ce passe, c'est que depuis que Jin est allé faire une petit tour par la case USA, on dirait que les KAT-TUN se sont soudainement intéressés de manière plus prononcée au rap et au r'n'b. Mais le truc, c'est que je déteeeeeeste le rap et le r'n'b !!!!! >_< Mais heureusement, Jin nous a ramené un peu de rock, aussi. Donc en fait, vous l'avez compris, cet album est un peu plus "américanisé" que les autres. C'est dommage, ce que j'aimais bien chez eux, c'était le côté J-Pop un peu décalé qui file la pêche...

...Je crois que ça dépend. Pour moi, cet album présente certains atouts plus rock tels que les fameux Keep the Faith (ma chanson préférée du groupe), Lips, et Yorokobi no Uta. Oui mais bon... ça suffit pas. Je suis donc allée chercher dans ce qu'ils nous avaient fait d'un peu plus original. Et j'ai eu des bonnes surprises, au final ! Mes gros coups de coeurs restent Six Senses et Nannen Tatte mo, au rythme "n'importe nawak" tout à fait made in Johnny's, "un-", une chanson trèèèès décalée mais qui se laisse écouter sans problèmes (moi ça me fait penser à un cocktail exotique tout plein de couleur et de glaçons ! XD et je ne sais absolument pas pourquoi -___-). Mais pour moi, le top du top de cet album est Distance, avec un superbe solo de Junno au début, et une jolie note à la fin qui nous montre ses progrès en même temps qu'une chanson plus réfléchie et qui s'accorde parfaitement aux couleurs flash de Tokyo.
 



Après, on a d'autres bons petits sons un peu plus dous comme Mother/Father et Our Story, et des J-Pop/Rock/Johnny's encore un peu difficile à cerner pour ma part, mais pas trop désagréables comme Ai no Command (encore du Junno en puissance) et Hell, No. Les r'n'b, quant à eux, on les trouve du côté de Taboo, Affection et 12 O'clock.


Au final, il n'est pas si mal, cet album (je viens de lui rajouter un point sur ma note ^^). Un peu plus de variété pour plaire à plus de gens. des rythmes aux couleurs différentes, et bien sûr un large progrès du côté du chant de nos p'tits loups. Je donne un gros plus à Taguchi Junnosuke, que je trouvais bien au-dessous des autres niveau chant, mais qui m'a assez impressionée, surtout sur la chanson Distance
Verdict... cet album risque de déstabiliser les fans de KAT-TUN et de leur style plus léger... Mais il est plutôt agréable à écouter, surtout pour les premières chansons de l'album, hormis Taboo. Si vous n'êtes pas adepte Johnny's, l'album peut aussi bien se révéler... une révélation (XD), comme il peut vous dégoûter à vie des Johnny's et de leur musique, aussi sympa soit-elle... ^^

Et... si vous tentiez le coup ? ;)


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20 août 2008 3 20 /08 /août /2008 02:30

 



Titre :

Mémoires d'une Geisha
Titre original : Memoirs of a Geisha
Genre : Drame, romance
Pays : USA, Chine, Japon
Durée : 2h 20min
Année : 2006
Réalisation : Rob Marshall
Téléchargement :
Sumo Torrent (torrent - vostfr)


D'après le livre éponyme d'Arthur Golden
(lui-même adaptation du livre, lui aussi éponyme, d'Inoue Yuki)



Casting :

Zhang Zhiyi
as Sakamoto Chiyo / Nitta Sayuri
Suzuka Ohgo as la jeune Chiyo
Gong Li as Hatsumomo
Michelle Yeoh as Mameha
Ken Watanabe as le Président
Kôji Yakusho as Nobu
Kaori Momoi as O-Kami
Youki Kudoh as Pumpkin
Togo Igawa as Tanaka
Samantha Futerman as Satsu, la sœur de Chiyo


Note : 19,5/20

 

 

 



Résumé :

Le film commence lorsque Chiyo et sa grande soeur Satsu sont vendues à la tenancière d'une maison de geishas par leur propre père, Rapidement, le destin va les amener à être séparées... Chiyo se retrouve donc confrontée à la sévérité de la maîtresse de maison, ainsi qu'à la méchanceté d'Hatsumomo, geisha vedette de la maison.
Mais Chiyo trouve réconfort en la personne de Pumpkin, une jeune fille un peu plus âgée mais dans la même situation qu'elle. De plus, Chiyo a une particularité bien à elle : elle possède les yeux bleus.
Par conséquent, Chiyo va très vite commencer sont apprentissage de geisha, sous le nom de Sayuri... Un chemin scintillant et merveilleux, mais tout autant, sinon plus, semé d'embûches et de brûlures...



Mon avis :

Bien que ce film n'est pas d'indentité réelle (des actrices chinoises pour des rôles de japonaises, des acteurs japonais, une réalisation et un tournage américaine), je trouve important de le mentionner en tant que film asiatique à part entière, ne serait-ce que part se mixité et part son thème. Et puis, avec le chef-d'oeuvre que c'est...


Pour moi, Mémoires d'une Geisha est un des films les plus sensationnels auxquels j'ai assistés. La première des raisons qui me fait dire ça, et aussi peut-être la plus flagrante, c'est celle de son extrême beauté visuelle. Si je ne peux pas dire qu'il s'agit tout à fait du concept de geisha, je peux cependant affirmer que la vision que l'ont nous offre ici est tout à fait éblouissante d'exotisme.
Éblouissante par ces couleurs qui explosent comme de véritables feux d'artfices, ces matières variées qui se marient aux sons les plus charmeurs... sans oublier la beauté du paysage naturel japonais, dont la flore luxuriante est à en émerveiller les plus difficiles. Et puis les coiffures, les costumes, les fonds, les plans... tout est là pour nous en mettre plein la vue. Enfin... jamais trop. Pile ce qu'il faut.



Mais on a également un autre côté éblouissant, qui se trouve cette fois au niveau de l'histoire elle-même. Même si le côté fictif est bien évidemment présent, j'ai ressenti le film d'une manière tout à fait sincère, et parfaitement réelle. Un peu comme ce genre de films qui vous prennent et ne vous lâchent plus, ceux dans lesquels on rentre et on n'en ressort plus, à tel point il a réussit à nous absorber dans son histoire. Et c'est ce qui s'est passé, pour moi en tout cas, avec Mémoires d'un Geisha : plutôt que de voir le film, je l'ai vécu.
On en vient à ressentir l'essence du mot "geisha", à voir qu'il n'est en fait pas si dtifférent de la véritable condition de femme d'aujourd'hui. Sayuri ne recherche en fait que deux choses : la liberté et l'indépendance. Elle est plus victime d'un monde dominé par l'illusion, auquel elle à choisi de se dédiquer afin d'atteindre ce qu'elle désire. Et ça, on le sent parfaitement.



Quand aux acteurs, il est vrai qu'il y a la fameuse polémique des geishas japonaises jouées par des chinoises, qui a fait rage en Orient. Cependant... j'avoue que les chinoises en question m'ont carrément époustouflées. Je crois que celle qui m'a le plus impressionnée est Gong Li, qui rentre totalement dans son personnage jusqu'à le jouer de la façon la plus rageuse possible. Absolument magnifique... Zhang Zhiyi est également très bonne dans son jeu qui montre l'évolution de la petite et faible Chiyo en la Sayuri belle, forte et déterminée. Michelle Yeoh, quand à elle, nous sert une Mameha pleine de pureté et de sagesse, à la spiritualité développée, qui va donner le fer à Sayuri pour le forger en armes avec lesquelles elle pourra se battre pour ce qu'elle veut. La petite Suzuka Ohgo est également impressionante, du haut de ses douze ans alors, qui fait preuve d'une rare sensibilité dan son jeu, un peu court, certes, mais marquant.
Je terminerai par Watanabe Ken, le grand du Japon qui est loin de prouver pour la première fois son talent au grand ou au petit écran. Ici encore, so jeu peut prêter à confusion... on devine difficilement ce que peut penser son personnage et, jusqu'au bout, le mistère est parfaitement préservé.






En clair, Mémoire d'une Geisha est pour moi un film "essentiel", où la romance et le drame n'en deviennent que plus merveilleux avec tout cette beauté visuelle totalement idéniable. Sans aucun moment de ralenti, ce film a réussi à me fair etenir en haleine jusquàu bout, par divers rebondissement et émotions. Une réalisation incroyable pour un véritable chef-d'oeuvre : quel n'est pas ce trésor qu'une geisha a un jour voulu nous laisser en mémoires...








[Trailer du film]

 




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18 août 2008 1 18 /08 /août /2008 04:02

 




Je voulais faire un article sur une question qui certes, n'est pas toute neuve, mais qui me tiens extrêmement à coeur.


Vous avez assisté à la cérémonie d'ouverture des JO, peut-être ? Moi, un tout petit peu... mais suffisament pour avoir entendu la jolie voix de la non moins charmante Lin Miaoke (9 ans). Et, comme beaucoup, j'en suis ressortie avec des petites étincelles dans les yeux... Qui n'ont pas duré longtemps.

En effet, la plupart d'entre vous le savent déjà, mais je trouve essentiel de le rappeler : la seule chose qui appartenait à la petite Lin, ce jour-là, c'était sa petite frimousse. Quand à la voix, elle sortait de la bouche d'un autre petite chinoise : Yang Peiyi (7 ans), ou "la petite fille de l'ombre".

Alors, que s'est-il passé ? Et bien, il faut savoir que les chinois ont visiblement un énorme sens de l'honneur. A tel point qu'ils préfèrent choisir un joli visage capable de faire du playback afin de cacher au monde entier le superbe talent d'un visage un tout petit peu moins gâtée par la nature. Il paraît en effet que ses joues un peu trop rebondies et que ses dents pas très alignées étaient incompatibles avec l'image de la Chine. Voyez par vous-même...




                  Lin Miaoke, petite douceur                                                             Yang Peiyi, petite horreur
























En ce qui me concerne, je trouve ça absolument scandaleux de la part d'un pays qui, justement, se revendique honnorable... Selon les deux petites filles, chacune est heureuse du rôle qu'elle a pu jouer dans cette mascarade. Yang Peiyi se sent très fière que le monde entier ait pu écouter sa voix, tandis que Lin Miaoke est enchantée d'avoir pu être "le visage de la Chine". Mais ce sont des petites filles, elles ne savent probablement pas tout ce que cet évènement engendre. Ou peut-être qu'on leur a dicté ce qu'elles devaient raconter, ce qui n'en est pas moins horrible...

Imaginer un peu l'image qu'elles donnent sans le vouloir... Imaginez un peu l'image qu'elles auront d'elles quelques années plus tard, lorsque l'une d'entre elle sera élue Miss "Sois belle et tais-toi" et que l'autre sera contrainte à se cacher le visage pour faire parvenir son talent aux oreilles des gens (si tant est qu'elle ne passe pas sur le billiard).


Voilà à quoi ressemble le monde. D'accord, ce n'est pas tout nouveau, mais l'échelle de l'évènement et l'exploitation totale de deux êtres sans défenses me laisse absolument perplexe. Alors c'est ça ? On est tombé dans un monde "Nip-Tuck" ? Surttout que, il faut l'admettre, Yang Peiyi est loin d'être moche. Ok, elle a besoin d'un petit appareil dentaire. Mais elle n'a que 7 ans, à la fin ! Surout... j'aimerais qu'on montre un peu le visage des parents des gamines. Pas pour les juger à leur beauté ou non-beauté, mais simplement pour voir la gueule de parents qui ont accepté que leurs filles se prêtent à une telle imposture.


Bravo, la Chine. Vous avez gagné la médaille d'or des abominations.








 

 

 

 

 

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15 août 2008 5 15 /08 /août /2008 03:21





Nom : Dookie
Groupe : Green Day
Type : Album
Grenre : Punk, pop-punk
Date de sortie : 1er février 1994
Label : Reprise Records
Téléchargement : Mininova



Pistes :

01 - Burnout
02 - Having a Blast
03 - Chump
04 - Longview
05 - Welcome to Paradise
06 - Pulling Teeth
07 - Basket Case
08 - She
09 - Sassafras Roots
10 - When I Come Around
11 - Coming Clean
12 - Emenius Sleepus
13 - In The End
14 - F.O.D. (Fuck Off and Die)
+ All By Myself (piste cachée)



Note : 20/20




Mon avis :

Voici l'un des deux albums que je considère comme mes "essentiels", qui passe un tout petit peu American Idiot, le célèbre dernier succès du groupe. Et pourtant, Dookie (qui signifie "excrément" en anglais) vaut tout autant le détour !





Déjà, pour la petite histoire de l'abum : Dookie est le premier gros succès de Green Day, celui qui lui a valut une reconnaissance mondiale et qui a donné naissance à des groupes à tendances plus commerciales tels que Blink 182 ou Sum 41. Pourtant, le son de Green Day se promène assez loin du commercial... ce qui n'a pas empêché que Dookie se vende à plus de 15 millions d'exemplaires dans le monde (et qui continue de se vendre !).

Donc... que trouve-ton dans cet album ? Des chansons aux accents plutôt variés, de même que les rythmes et es paroles. C'est un truc qui m'a toujours impressionnée chez Green Day, cette faculté qu'ils ont à traiter de 40 000 sujets différents... et bien, en plus ! Sur cette album, je ressens plutôt une ode à la jeunesse et au délire, au son reconnaissable mais jamais pareil.

Ensuite, les chansons ! On a de gros succès comme Longview, le "Je m'emmerde, mais je suis jeune et con alors c'est pas grave" et Basket Case (une des chansons les plus appréciées du public), plongée dans les amphétamines et les hallucinations, aux sons survoltés qui filent carrément la pêche.On a aussi du When I Come Around, chanson plutôt lente au couleurs de la nuit et assez nostalgique, mais également She, MA chanson préférée de Green Day, qui nous expose un véritable cri avec des paroles simples mais avec suffisament de rage pour nous faire passer le message.




On a également droit aux "chansons cons", comme seul Green Day savent les faire, le genre que l'on écoute sans povoir s'empêcher de rire (pour peu qu'on comprenne les paroles)... style "fumette" avec Burnout, style "jamais devenir adulte" avec Emenius Sleepus, style "ma femme m'a envoyé à l'hôpital après une bataille de polochons" (si si c'est vrai ! XD) avec Pulling Teeth, et enfin style "j'vais te casser la gueule" avec Having a Blast et Chump.
Et puis il y a Coming Clean, où Billie Joe Armstrong expose sa bisexualité présumée, et Sassafras Roots, où on remarque notamment le côté "jeunesse perdue" avec toute l'ironie dont le groupe sait faire preuve. 
Et puis deux petites chansons finales, In The End et F.O.D, où il se traite des relations avec le sexe opposé (ben oui, ils ne savent pas fair eun album sans XD).

Et tout ce beau monde se clôture par une piste cachée (quelques minutes apès la fin de F.O.D.) : un petit solo du batteur Tré Cool légèrement bourré sur les bords, All By Myself. Et effectivement, on le ressent, le "by himself" ! XD Mais c'est du pur Green Day, et ça nous donne comme un petit rappel qui se fait à la fin de chaque concert. Le top.




En gros, Dookie est un album à découvrir absolument si vous ne connaissez que le fameux American Idiot de Green Day. A la fois plein d'esprit et et délire, cet album est une pure merveille qui s'écoute en boucle, n'importe où et n'importe quand. Et de quoi faire taire toute les têtes de mules qui prônent le "non-style" de Green Day... Bon, vous me la téléchargez, cette petite bombe ? ;)

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14 août 2008 4 14 /08 /août /2008 02:40







Titre :
Bleu Presque Transparent
Titre original :

Auteur : Murakami Ryû
Année : 1976
Genre : Drama, violence
Traduction : Guy Morel, Georges Belmont
Editeur : Picquier
Nombre de pages : 203



Ce livre a raçu le prix Akutagawa (Goncourt japonais) en 1978
De plus, il existe un film éponyme, réalisé par Murakami Ryû lui-même en 1980.



Note : 15/20






Résumé :

Dans le Tokyo des années 70, Bleu Presque Transparent raconte le quotidien de huit jeunes japonais "de la rue", paumés entre sexe, drogue et rock'n'roll, à travers les yeux de Ryû, protagoniste et narrateur.



Mon avis :

Trash. C'est ce que j'appelle un bouquin bien trash. Et si on a jamais lu du Murakami avant ça, ça peut très mal passer...


En ce qui me concerne, ce n'est pas le premier Murakami que je lis, donc j'étais déjà habituée. Il faut dire que l'auteur ne mache pas ses mots, surtout pour une histoire comme ça. Pour ceux que les scènes de bad trip (et vraiment très bad, les trips) ou les scènes de sexe décrites avec forces détails dérangent, ne pensez même pas à vous aventurer entre les lignes de ce bouquin. Pourtant, moi, je trouve ça plutôt audacieux : au lieu de tenter de contourner les choses, de raconter de manière un peu plus poétique, Murakami vomirait presque ses mots, tout ça pour être toujours plus proche de la réalité. Et c'est ça que j'adore, justement... c'est comme si Murakami arrivait à nous donner un coup de fouet à travers ses histoires, de quoi nous sortir du mielleux et de nous montrer ce qu'est la rage de vivre (ou pas).

En ce qui concerne l'histoire, j'avoue que je l'ai trouvée moins passionante que Les Bébés de la Consigne Automatique. Peut-être, en partie, parce que cette cette histoire impliquait moins de personnages que Bleu Presque Transparent... Néanmoins, le livre n'en perd pas sa valeur. Comme je l'ai déjà dit, c'est du trash, du glauque, avec les 8 personnages que l'on voit se perdre tour à tour, se déchirer, s'entretuer, se suicider... bref, se faire du mal. De quoi voir que la jeunesse tokyoïte des années 70 n'avait rien à envier à celle que l'on trouve parfois encore aujourd'hui...
Mais bizarrement, ce côté extrêmement noir est contrebalancé par un autre aspect plus psychédélique, qui le rend... presque transparent. Le truc de Murakami, c'est s'amuser à mélanger le rêve et la réalité, ou plutôt le cauchemar et la réalité. Et pour ça, on est servi. Que ce soit effectivement un rêve ou un cauchemar, des hallucinations, des secondes d'imaginations, on retrouve toujours des moments où ressortent les peurs et les véritables désirs des personnages, leur donner un côté enfantin plus qu'attendrissant. Ce qui contraste énormément avec les reste... Mais qui prouve que, en un sens, on a face à nous des enfants perdus qui on, finalement, plus conscience que quiconque de ce qui est important.

Autre chose... ce roman paaît exceptionellement réel. Déjà, rien que le nom du presonnage principal : Ryû. Et si c'était Murakami lui-même ? En fait, la plupart des gens le croient dur comme fer, et moi de même. Et c'est peut-être cette certitude de savoir que tout ça, ou du moins quelque chose qui y ressemble, est réellemetn arrivé dans la vie d'un jeune japonais. De quoi donner à la fin un ton tout particulier, un peu comme un cri de désespoir d'une voix pleine de regrets, qui aurait, peut-être, un peu peur d'être oubliée.


En deux mots... ou plutôt trois : Bleu Presque Transparent, c'est sexe, drogue et rock'n'roll non stop. Et même comme ça, baignés, au milieu des Doors et des Stones, on arrive à distinguer le petit éclat de pureté bleue presque transparente de cette jeunesse déchéante. Donc, au final... pourquoi ne pas s'y aventurer ? ;)





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9 août 2008 6 09 /08 /août /2008 02:50

 





Nom : Roaf Of Major (ROM)
Nom alternatif : ロードオブメジャー
Nationalité : Japonaise
Genre : J-Rock, Alternatif
Débuts : 2002
Statut : Séparés depuis 2007




Membres :

Kitagawa Kenichi
(25 août 1980)
Chant 

Kondo Nobumasa
(10 février 1983)
Guitare

Matsumoto Kenichi
(20 décembre 1979)
Basse 

Uehara Akikane
(27 août 1983)
Batterie







Biographie :


Le quatuor Road Of Major s'est formé en 2002 à l'occasion d'une émission de la chaîne TV Tokyo "Hamaraja". A cette occasion, ils ont joué 50 concerts en 100 jours, à l'issue desquels ils espéraient signer avec un label major (d'où leur nom). Dans le cas contraire, ils se seraient vus contraints de se séparer...

Leur tournée a été couronné de succès, et leur premier single "Taisetsuna Mono" a été vendu à plus d'un million d'exemplaire. De plus, Road Of Major est le premier groupe indépendant à être rentré directement n.1 du classement Oricon avec leur album éponyme, en 2003. L'anné suivante, ils signèrent enfin avec une major, mais ils ne sont jamais arrivés à atteindre le même succès qu'en indé, Du fait de leur divergence musicale, Road Of Major s'est donc séparé en 2007.











Mon avis :


Là je dis "Wouah !". J'avoue qu'un seul groupe à réussi à me passionner autant d'un seul coup... Green Day, mon groupe préfér´´e, mais ça c'est un autre histoire. Je disais donc, la musique de Road of Major a fait comme un "Splash !", alors que j'était en train d'écouter du KAT-TUN. Comme quoi ça a du bon, d'écouter du KAT-TUN.

Aloooors que dire de ce groupe ? Bon, de la J-Rock, alors que d'habitude je suis plutôt fan de Pop, quand on parle de J-Music. Alors, qu'est-ce qui a fait que j'ai pu les aimer ? Et bien tout d'abord, c'est ce côté largement inspiré d'Occident qui m'a plut. Parce que justement, ils ne nous ont pas fait de la copie : ils ont pris des sons de batterie, guitare et basse chinés du côté de Treble Charger, Lagwagon et Less Than Jake, mais ils nous ont mélangés ça avce une autre guitare bien japonaise et surtout, des paroles nippones surgies d'une voix assez loin de ce qu'on peut connaître.

Disons que... la voix du chanteur est ce qui m'a le plus attiré. Il a quelque chose de puissant, qu'il pousse parfois un peu trop à la limite du possible, et ça peut même sonner faux... mais en fait, jamais. Il s'arrête toujours quand il faut, en donnant suffisament de corps à la musique. Et ça rend carrément bien !

Et puis je trouve leur son  en général entraînant et plutôt arrisqué, ce qui leur donne des couleurs toutes particulières. Disons que c'est un  peu comme s'ils savaient faire "briller" leurs chansons... Du moins c'est ce que je ressens ! ^^ Je vous conseille d'ailleurs leur Best Of, une pure merveille !

Simplement... quel dommage qu'ils se soient séparés ! >_<









Albums

* Silver Road - Remix
* Golden Road -Best-
* Road of Major II
* Road of Major


Singles

* Play the Game
* Energy
* Saraba Aoki Onokage
* Seiten ni Mukatte
* Shinainaru Anata e
* Guzen Toiu na no Hitsuzen
* Kokoro
* Zassou / Ashiato
* Bokuradake no Uta
* Taisetsuna Mono









Allez... à vous de juger ! ^^



[PV - Zassou]







[PV - Saraba Aoki Omokage]

(La chanson commence un peu avant la deuxième minute)





[PV - Shinai Naru Anata e]




[Live - Taisetsuna Mono]





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29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 19:52

 




Nom : 佐藤健
Nom (romaji) : Sato Takeru
Profession : Acteur
Date de naissance : 21 mars 1989
Lieu de naissance : Iwatsuki, Saitama, Japon
Taille : 1m70
Signe astrologique : Bélier
Groupe sanguin : A
Agence : Amuse

 


 

Sato Takeru est mon  nouveau chouchou, (que j'idolâtre depuis un moment, quand même ^^") tout droit sorti de Princess Pricess D, le drama où l’on peut l’admirer... se travertir.

Et non, Takeru-chan n’a pas des tendances bizarres, c’est juste un bon acteur. Et danseur, aussi. Et bon surfeur, tant qu’on y est. Comme si ça suffisait pas, il fait de la batterie, et se débrouille bien en chant. Et puis il est beaaaaaaaau !!!!! >_< (il est parfait ?)

Et pourtant, Takeru n’est pas un Johnny’s, comme les apparences pourraient le laisser penser. Ni même un D-Boy, quoiqu’il défile avec eux et que tous ses amis sont perdus parmi eux. Non, Takeru est à part, ce qui m’impressionne d’autant plus...

 
Donc, je le disais, j’ai découvert le jeune homme (mouais... à peine un an de plus que moi quand même ^^) dans le drama Princess Princess D, où il interprétait l’une des pincesses, et était donc obligé de jouer les efféminés tout au long du truc. Et aussi incroyable que ça puisse paraître, au milieu de talents tels que Saito Takumi ou Kamakari Kenta, sans compter Nakamura Yuichi et Ishiguro Hideo, c’est lui que j’ai remarqué. Et pourquoi, me diriez-vous ? Je vais être honnête : oui, il ne se débrouillait pas trop mal, avec son petit air survolté, mais à la base c’est surtout parce qu’il est beau... -__-




MAIS ! Oui parce qu’il y a un mais ^^

 

Takeru-chan n’en est pas à sa première expérience du petit écran, ni du grand, d’ailleurs. Je me suis donc tout d’abord penchée sur Rookies, son dernier drama en date, avec, je vous l’avais dit, la moitié des D-Boys et un autre acteur que j’apprécie énormément : Sato Ryuta (des noms différents, pour changer XD). Or, Takeru n’a pas un rôle très important dans ce drama... Je dois dire qu’on le remarque plutôt pour sa coupe de cheveux toute en dreadlocks d’une longueur certaine qui rappelle fortement celle du chanteur de Tokio Hotel. Donc... j’avoue que j'arrive difficilement `me faire un avis quant à sa prestation dans ce drama, même si j’étais dans tous mes états à chaque fois qu’il apparaisait à l’écran avec une réplique tranchante... Bon, ok, même là-dedans je crois qu’il est arrivé à s’imposer, malgré son peu de répliques ! ^^


 

 

 

Là où il explose, par contre, c’est dans le tokusatsu Kamen Rider Den-O, de la série des Kamen Rider (quelle logique ! XD). Il y interprète le premier rôle, celui du Kamen Rider Nogami Ryotaro, qui se fait... régulièrement posséder par des imajins différents. Vous ne savez pas ce qu’est un imajin ? Pas grave, de toute façon c’est trop long à expliquer ! ^^ Gardez seulement à l’esprit que Takeru ne joue en fait pas UN personnage, mais CINQ. Et ce dans le même drama, avec des visuels différents à chaque fois. Et là... ben il explose carrément ! J’avoue avoir été impressionnée par la façon dont il a réussi à gérer les cinq persos et à leur conférer à tous une véritable identité et un réalisme étonnant (surtout pour un tokusatsu). Et c’est avec l’imajin de Ryuutaros que Takeru nous fais ses démonstrations de hip-hop encore plus fortes que celles de Tanaka Koki. Paraît que Takeru est passioné de danse depuis qu’il est tout petit... Voyez par vous-même ! ^^

 

 

 

 

 

 


Pour conclure sur Sato Takeru, je dirais que c’est une tout jeune acteur en puissance, qui gravit les échelons à une vitesse fulgurante, si vous voulez mon avis. Je veux dire, du moment qu’il n’est ni Johnny’s ni D-Boy, c’est presque extraordinaire, une allure pareille... Il y a deux ans, il était dans un drama de seconde zone en second rôle. L’année dernière, un film et un drama de seconde zone en protagoniste. Le voilà maintenant dans un autre film et un drama de première zone... Ok, en rôle secondaire, mais... attendez un tout petit peu... Je suis sûre qu’il fera des miracles ! Honnêtement, je soutiens Takeru à fond, et je peux vous assurer que d’ici peu, on entendra parler de lui autant Yamapi. Et même plus, c’est moi qui vous le dit. Parce que c’est Takeru, après tout ! ^^

 

 

Gambatte, Takeru-chan !!!!!




 

 



Takeru

 

 

 


Dramas :


ROOKIES (TBS, 2008)
Shinigami no Ballad (TV Tokyo, 2007, ep7-8)
Kamen Rider Den-O (TV Asahi, 2007)
Princess Princess D (TV Asahi, 2006)


Films :


Kamen Rider Den-O & Kiva : Climax Deka (2008)
Kamen Rider Den-O : I am Born ! (2007)


Liens :
 

Site officiel 
Blog officiel



Divers :


“Intently” - Photobook
“My Color” - DVD




 

 [Extrait de Kamen Rider Den-O - Takeru et ses cinq persos... en même temps]







 
[Making of "Intently" - Part 1]

 




[Making of "Intently" - Part 2]

 



 

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29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 01:29

 

  

Titre : ルーキーズ
Titre (romaji) : ROOKIES
Genres : Sport, school drama, comédie
Episodes : 11
Chaîne : TBS
Période de diffusion : 19 avril au 26 juillet 2008
Theme song : Kiseki - GreeeeN
Téléchargement : D-Addicts (vosta - torrent) 

 
Casting :

Sato Ryuta
as Kawato Koichi
Ichihara Hayato as Aniya Keiichi
Koide Keisuke as Mikoshiba Toru
Shirota Yu as Shinjo Kei
Nakao Akiyoshi as Sekikawa Shuta
Takaoka Sousuke as Wakana Tomochika
Kiritani Kenta as Hiratsuka Taira
Sato Takeru as Okada Yuya
Igarashi Shunji as Yufune Tetsuro
Kawamura Yosuke as Hiyama Kiyook
Onoue Hiroyuki as Imaoka Shinobu
Murakawa Eri as Yagi Toko 


Note :
15/20

 

 

 

 

 

Résumé :

Kawato est un professeur passionné par son métier. Ayant commis une erreur regrettable dans le lycée où il enseignait, Kawato s’est fait renvoyer. Cependant, un lycée accepte de l’employer à nouveau, pour le plus grand bohneur de celui-ci. Mais... la classe d’élèves de deuxième année dont il va s’occuper lui causera plus de problèmes qu’il ne l’imaginait : parmi ses élèves, se trouvent les membres du club de baseball, suspendus de jeu pendant 6 mois suite à des actes de violence sur le terrain même de baseball. Kawato s’attache donc à l’histoire de ces jeunes garçons ayant un peu perdu leur chemin... Il va alors tenter de les faire revenir sur le terrain de baseball, et surtout, de faire revivre leur rêve.

 

 

Mon avis : 

Bon, ok, j’avoue, j’ai pas finit le drama. Mais je crèèèèèève d’envie d’en parler ! >_<


A voir le résumé, comme ça, ça sonne à la Yankumi, non ? Honnêtement, c’est ce que j’ai pensé au début, d’autant plus que Kawato nous sort souvent des phrases un peu philosophiques avec l’air d’y croire à fond, avec en arrière-plan LE sourire idiot made in Sato Ryuta. Mais... bizarrement, ça passe 100 fois mieux que du Yankumi. Parce que déjà, Yankumi, elle se prendrait presque pour une philosophe à part entière, j’ai l’impression. Mais Kawato, non, justement. Lui, son truc, c’est avoir un rêve, et se battre pour le réaliser. Alors parfois, ça peut paraître un peu nunuche, mais en ce qui me concerne, j’ai trouvé que la mise en scène rendait le tout parfaitement acceptable, et même pertinent, puisqu’après tout, le message est « Sachez trouver un objectif qui vous correspond. S’il est un tant soit peu réaslisable, donnez vous à fond pour y arriver ». Plutôt loin du Yankumi, donc... Et un bon point pour Rookies, un ! ^^

 

Ensuite, les élèves. Non, ce ne sont pas des délinquants. Ce sont... des garçons, tout simplement ! Enfin... pas seulement. Des garçons, des ados un peu trop fiers. D’où l’image de délinquants qui les poursuit, du fait de ne pas vouloir se montrer face à ceux de l’école toute entière qu’ils ont déçus, si près de leur objectif, justement. De quoi donner un bon réalisme à tout ça... Et avec de l’humour, s’il vous plaît ! Parce que même si les sujets de la fierté, de la violence et de l’honneur sont largement exploités, on ne ressent pas cette lourdeur que l’ont peut trouver dans les dramas qui touchent aux profs. Kawato, principalement, fais lui aussi des erreurs, et est lui aussi à côté de la plaque, quand ça lui prend (c’est-à-dire à peu près tout le temps). Et même les membres du club de baseball, carrément déprimés au début, se mettent à nous faire rire...

La seule chose aui m’énerve dans ce drama, c’est en fait l’idée que tout soit centré sur le baseball. Ok, c’est un drama sur le baseball... -_____- Mais je voyais ça d’un point de vue... moins « baseballien », qui aurait permis de mieux exploiter la personnalité des personnages, plutôt que de n’en mettre que un ou deux en valeur. Beaucoup des acteurs méritaient plus de place, à mon avis, comme Sato Takeru ou Igarashi Shunji, qui ne sont là presque que pour remplir l’équipe. Quelques longueurs, aussi, mais franchement rien de bien méchant, si l’on considèr le reste ! ;)


Donc en fait, je pourrais dire, en ayant vu jusqu’au 7ème épisode, que Rookies est un drama qui mérite le coup d’oeil, mais qui ne plaira certainement pas à tout le monde. Il y a quelques beaux garçons ( et encore, tout dépend des goûts, je parle pour moi, là...), mais le côté 99% de baseball pourra rébuter les non-fans de sport. Cela dit, je fais partie de cette catégorie, mais cela ne m’a pas empêcher d’apprécier presque chaque minutes des 8 épisodes visionnés de ce drama ! ^^

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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 23:37

 




Titre : タイガー&ドラゴン
Titre (romaji) : Tiger & Dragon
Format : Renzoku
Genre : Comedie
Episodes : 1 Special (à voir avant le drama) + 11
Taux d'audience : 15.5%(SP), 12.78%
Chaîne : TBS
Période de diffusion :
Spécial : 9 Janvier 2005
Drama : 15 Avril 2005 au 24 Juin 2005
Opening theme song : Tiger & Dragon - Crazy Ken Band
Ending theme song : UTAO-UTAO - V6
Téléchargement : D-Addicts (vosta - torrent)
Asahi Fansub (vostfr - torrent & DDL) - en cours
Streaming : Veoh (vosta)


L'épisode spécial doit être vu avant le drama.
Il n'est peut-être pas extrêmement indispensable,  mais le voir aide à la compréhension du drama.
De plus, il est très agréable ! ^^



Casting :

Nagase Tomoya as Yamazaki Tora / Hayashiyatei Kotora 
Okada Junichi as Yanaka Ryuji / Hayashiyatei Kotatsu
Ito Misaki as Megumi
Nishida Toshiyuki as Yanaka Shoukichi / Hayashiatei Donbei
Abe Sadawo as Yanaka Ryuhei / Hayashiyatei Donta
Shoufukutei Tsurube as Nakatani Ken
Tsukamoto Takashi as Nakatani Ginjiro
Aoi Yu as Risa
Kiritani Kenta as Chibi T
Takuma Takayuki as Hyuuga Jun
Gin Pun Chou as Yanaka Sayuri


Note : 19,5/20




Résumé :

Tora est un yakuza sans famille dont le rêve est de savoir faire rire les autres. Néanmoins... il semble qu'il ne soit pas doué pour ça.
Un jour, alors qu'il tente de récupérer les dettes de Yanaka Shoukichi, il en vient à le voir exercer son métier, c'est-è-dire raconter une histoire de rakugo. Or, le rakugo est une forme de théâtre japonais dont le but est de divertir tout en apportant une morale... Tora est fasciné, et demande à Shoukichi, ou Ma^tre Donbei, de lui apprendre à faire du rakugo en échange de ses dettes.
Tora va alors faire la connaissance de Ryuji, le fils de Donbei, qui lui est un jeune prodige du rakugo mais qui a tout laissé tomber, et rêve de s'en éloigner complètement. Entre également en scène Megumi, une jeune femme pleine de vices mais qui sais faire tourner la tête des hommes...
Et c'est là que le sproblèmes commencent ! >_<


Mon avis :

Ce drama se situe donc... comment dire... en deuxième position de mon classement des meilleurs dramas, au même titre que Kisarazu Cat's Eye. Il faut dire que la recette est tellement sans fautes que bon...


Donc, Tiger & Dragon. Avant de vous dire quoi que ce soit, je dois vous prévenir que si vous vous lançez dans le visionnage de ce drama, vous allez éclater de rire tout le long !
Et oui, parce que déjà... visez-moi un peu le synopsis. L'idée c'est que ce drama nous présente un délire assez complet du début à la fin, mais un délire complètement bien foutu. Vous voyez, le sgenre de scène ou 25 choses se passent en même temps et que vous avez du mal à tout assimiler ? Et bien là, c'est tout le contraire. Il y a effectivement des scènes où 25 choses se passent en même temps, mais bizarrement on compremd tout ce qu'il se passe. En fait, les scènes des 11 épisodes se suivent à un rythme soutenu, sans jamais s'épuiser et toujours pleine d'inventivité. Cette fois, c'est la "Kudo's Touch", le petit truc du superbe scénariste Kudo Kankuro qui nous sert son univers bizarre er délirant sur un plateau d'argent. En plus, les dialogues sont rafraîchissant et ça fuse de tous les côtés pour notre plus grand bohneur. Perfect !


Que pourrait-on dire de plus ? Oula, des tas de choses. Je me lance du côté du rakugo, maintenant. A vrai dire, cette idée du vieux théâtre japonais me rebutait un peu, et j'ai été agréablement surprise. Mais... carrément, quoi. Non seulement on retrouve des histoires classiques beaucoup plus intéressantes qu'on pourrait le croire, mais aussi des histoires modernes. Je vous explique le tout...
D'abord, on débute toujours avec une histoire classique, illustrée par les même acteurs du drama, comme si on imaginait l'histoire nous-même. Parfois, les homme sjouent même des femmes, ce qui tourne parfois dans un ridicule magnifiquement hilarant. Ensuite, vous avez la petite morale qui va avec, mais toujours en finesse... qui va guider la véritable histoire de l'épisode, avec cette fois les vrais personnages. Et bien sûr, à la fin, on retombe sur l'histoire du début, modifiée à la Kotora, qui raconte en fait l'histoire de l'épisode comme si c'était un véritable classique. Vous avez compris ? XD
Bref, ce que ce drama veut faire ressortir, c'est la véracité de chaque histoire traditionnelle, ainsi que son intemporalité. On y voit clairement l'analogie entre réalité et fiction, ce qui nous pousse à réfléchir sur pas mal de choses...


Passons maintenant du côté des acteurs. Nous avons en co-stars Nagase Tomoya et Okada Junichi... Donc, dans mon esprit, le duo équivaut à "qualité". Tout d'abord, Nagase. J'en étais déjà fan depuis Ikebukuro West Gate Park,
mais j'avoue que là... il m'a carrément bluffée ! Son rôle était celui d'un homme un peu traumatisé de son enfance et qui ne sait absolument pas faire rire les gens. Mais biens sûr, le but de Nagase était, grâce à ce rôle, de faire rire les gens. Vous captez la difficulté ? Nagase doit faire rire tout en jouant le rôle de quelqu'un qui ne sait pas faire rire. Et... mission accomplie avec brillo ! Ses jeux d'expressions faciales, les intonations qu'il utilise, les gestes qu'il confèrent à Tora lui donnent un réalisme brillant, entre le type qui s'énerve tout le temps et celui qui réfléchit un peu plus, donnant à la fois du drôle et dr l'émouvant à Tiger & Dragon. Oui, parce que Tora est le Tigre...
... Et Ryuji le Dragon. Ce personnage, interprété par Okada Junichi, est l'exact contraire de Tora. En clair, ils se complètent parfaitement.  Ryuji, lui, a le rire dans la peau, il apparaît à l'écran et il a toujours un mot pour faire rire. Plus expansif que Tora, il est la seconde clé de ce drama. Il va donc aider Tora à évoluer, tandis que Tora fera de même pour Ryuji... Et ce Ryuji, c'est le personnage qui m'a faite tomber raide dingue d'oKada Junichi. De son jeu d'cteur, je veux dire... Il a su parfeitement allier le "trop" et le "pas assez" pour donner à Ryuji le même réalisme, par des moyens différents, que Nagase avait donné à Tora.
Quant aux autre acteurs, je ne m'y étendrais pas trop puisque je crois avois déjà passé un temps fou sur Nagase et Okada ! XD Néanmoins, sachez que tous sont aussi bons les uns que les autres. Ils apportent tous quelque chose à eux, notamment le surjeu d'Abe Sadawo, particulièrement appréciable ici (sa couuuupe ! XDDD). Bref, humour, humour, humour... c'est ce qu'il ont tous en tête, et ce qu'ils nous passent tous à leur façon.


Pour conclure le tout, je dirais que Tiger & Dragon est une fois de plus une preuve du talent de Kudo Kankuro et de ses acteurs fétiches. Plus qu'un simple comédie, on a ici une véritable réflexion sur l'humour et sur la vie, de quoi nous faire réfléchir tout en nous détendant au maximum. Bref... un drama qui tue, quoi ! ;)


Tiger, Tiger, Jirettiger !!!!!



Récompenses :

  • 45th Television Drama Academy Awards : Meilleur drama
  • 45th Television Drama Academy Awards : Meilleur acteur : Nagase Tomoya
  • 45th Television Drama Academy Awards : Meilleur second rôle : Nishida Toshiyuki
  • 45th Television Drama Academy Awards : Meilleur scénariste : Kudo Kankuro
  • 45th Television Drama Academy Awards : Meilleur arrangement musical : Nakanishi Kyo
  • 45th Television Drama Academy Awards : Meilleur opening : Katayama Osamu
  • 9th Nikkan Sports Drama Grand Prix (2005-06) : Meilleur second rôle : Okada Junichi




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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 23:18







Nom : 阿部サダヲ
Nom (romaji) : Abe Sadawo
Vrai nom : 阿部隆史 / Abe Takashi
Profession : Acteur
Date de naissance : 1970-Apr-13
Lieu de niassance : Chiba, Japan
Taille : 165cm
Poids : 57kg
Signe astrologique : Taureau
Agence : Otona Keikaku




Voilà un acteur dont je n'ai jamais parlé, et qui pourtant le mérite pourtant largement (c'est d'ailleurs une honte qu'il n'ait jamais reçu un seul prix >_<). Abe Sadawo... Hamaguchi, le flic pervers d'Ikebukuro... Vous voyez de qui je parle ? Abe Sadawo, où le mec qui pourrait faire rire les hommes politiques les plus coincés de la planète ! XD

Non mais sérieusement, cet acteur, il a un truc. Je trouve qu'Abe sait attirer l'attention sur lui même s'il n'est qu'un personnage secondaire... Le pire, c'est qu'il a souvent des rôles ridicules, non mais vous allez pas me dire que celui de Hamaguchi ou le mec avec un "banane" d'1m de long de Kamikaze Girls c'était ce qu'il y avait de plus classe. Et pourtant... Ca lui va bien, bizarrement ! O_O
En fait, le ridicule est d'habitude simplement "ridicule", et puis point barre, genre on aimerait pas être à la place du mec, mais lui c'est autre chose. Il donne un tel naturel à son jeu de ridicule que, même si ça l'est incontestablement, c'en est si hilarant qu'on se fiche du reste. Perso, je prend un plaisir fou à voir des dramas ou films dans lesquels il a joué, je m'éclate ! Même si j'en ai pas vu beaucoup...

Tout ce que je sais, c'est qu'il est présent dans mes trois dramas préférés : Ikebukuro West Gate Park, Tiger & Dragon et Kisarazu Cat's Eye. A croire que c'est un acteur fétiche du scénariste dont je suis fan, Kudo Kankuro... Bref, tout ça pour dire qu'Abe Sadawo n'est pas réellement un acteur, mais un vérityable comédien. Il a... comment dire... l'essence du rire, c'est ça ! Il sais exactement où commencer et où s'rra^ter our nous faire rire, en faisant du surjeu extrêmement maîtrisé. Comme je le disais, voir quelque chose dans lequel il a un rôle promet de vous divertir au plus haut point, puisqu'il semblerait qu'il choisisse presque unhiquement de bons dramas et de bons films dans lesquels apparaître...

Et son dernier film, "Maiko Haaan !", est paraît-il pile dans ses cordes : une comédie légère, où il joue plusieurs personnages (7 il me semble), mais où il excelle, rien que d'après les extraits que j'en ai vu (oui je sais on se base pas dessus, mais là c'est assez flagrant ^^).

Ah ! Abe Sadawo est aussi chanteur dans un groupe, mais bon... c'est avant tout un acteur, quoi ><
Et un acteur talentueux, plein d'esprit et la tête sur les épaules qui, en fin de compte, vaut vraiment la peine d'être vu. Une seule de ses prestations, et je vous garanti que vous vous plierez de rire rien qu'en y repensant ! XD




Dramas :

* Shukan Maki Yoko (TV Tokyo, 2008)
* Iryu 2 (Fuji TV, 2007)
* First Kiss (Fuji TV, 2007)
* Unfair SP (Fuji TV, 2006)
* Dare Yorimo Mama wo Ai su (TBS, 2006)
* Iryu (Fuji TV, 2006)
* Unfair (Fuji TV, 2006)
* Tsubasa no Oreta Tenshitachi (Fuji TV, 2006)
* Koi no Kara Sawagi Drama Special Love Stories II (NTV, 2005)
* Tiger & Dragon (TBS, 2005)
* Batsu Kare (TBS, 2004)
* Boku no Mahou Tsukai (NTV, 2003)
* Kokoro (NHK, 2003)
* Mama no Idenshi (TBS, 2002)
* Kisarazu Cat's Eye (TBS, 2002)
* Tengoku ni Ichiban Chikai Otoko 2 (TBS, 2001)
* Summer Snow (TBS, 2000)
* Ikebukuro West Gate Park (TBS, 2000)
* Happy Ai to Kando no Monogatari 2 (TV Tokyo, 2000)
* To Heart (TBS, 1999)
* Sommelier (Fuji TV, 1998)
* Sweet Devil (TV Asahi, 1998)
* D×D (NTV, 1997)
* Odoru Daisousasen (Fuji TV, 1997, ep9)


Films :

* Maiko Haaaan!!! (2007)
* Unfair : The Movie (2007)
* Kogitsune Helen (2006)
* Kisarazu Cat's Eye : World Series (2006)
* Year One in the North (2005)
* Kamikaze Girls (2004)
* Eiko (2004)
* Kisarazu Cat's Eye : Nihon Series (2003)
* Uzumaki (2000)


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